Temples, jardins et cerfs - Partie 2

奈良市

Direction le parc, encore une fois, où l’on se dirige vers le musée National de Nara, qui abrite une collection d’art bouddhique, dont notamment une impressionnante part de statues, mais aussi d’art japonais.

Nous avons ensuite visité le Kasuga Taisha et la forêt environnante.

Nous comptions grimper sur le mont Wakakusa, mais en le cherchant, on nous a appris qu’il était fermé pendant tout l’hiver !

Notre bus de retour pour Yokohama étant à 22h le soir, et tout étant fermé à Nara à partir de 17h ou 18h, le challenge a été de nous occuper pendant toute cette période. Nous avons déambulé dans les rues touristiques et acheté quelques souvenirs, puis en nous dirigeant vers la gare, nous avons enfin trouvé notre kaitenzushi !

Nous aurions préféré Osaka pour le faire, mais tant pis ! Nous avons été ravis de constater qu’il y avait un certain choix végétarien. Il y avait notamment des makis au concombre, au radis, au wasabi (brillante idée…), et des sushis à l’omelette. Il y avait d’autres choix encore plus originaux, tels que le sushi maïs mayonnaise, que nous n’avons pas essayé cette fois-ci, ou le sushi à l’oeuf cru et au tororo (pas si mal que ça !), ou… le sushi à l’oeuf cru et au nattô. Alors que c’est le même type d’aliments, j’ai beaucoup moins de difficulté à manger du tororo, que j’apprécie même. J’essaie de me mettre doucement au nattô pour toutes ses vertus sur la santé et pour tenter de comprendre cet aspect de la cuisine japonaise, mais le ratio riz-nattô devait être mauvais (beaucoup trop de nattô), donc ce n’était pas un succès.

Nous avons fini par des petites pâtisseries japonaises populaires dans la région du Kansai (région d’Osaka), des warabis, qui ressemblent un peu aux lokums. La texture est semblable, et le goût aussi. Je pensais que c’était du mochi (donc fait à partir de riz gluant), mais les warabis sont faits avec de l’amidon de fougère.

Afin de passer les dernières heures restantes, nous nous sommes arrêtés dans un café qui proposait de jolis desserts, et l’heure était venue de partir.